Alors, pourquoi la misère, la maladie, les guerres, les catastrophes naturelles?
La réponse se trouve dans Genèse 3, 16 à 19 :
Le péché entraîne des conséquences inéluctables, l’homme a choisi de croire le diable plutôt que croire Dieu.
« La femme fut condamnée à souffrir en accouchant et à subir la domination de son mari. L’homme fut condamné à gagner sa vie au moyen du sol désormais maudit et qui produirait des épines et des ronces, entraînant pour lui peine et sueur. Ensuite, à la fin de sa vie, il retournera dans la terre ».
Dieu avait donné la terre à l’homme, et lui dit: « Soyez féconds, multipliez-vous, remplissez la terre et assujettissez-la ».(Genèse 1, 28)
Mais l’homme par la désobéissance, donne son autorité au diable. Et la malédiction est tombée sur toute la création.
J’aimerai apporter un commentaire sur les interrogations de Jean D’Ormesson : "S’il y a un Dieu il est caché il est ailleurs …"
Pour ceux qui lui tourne le dos … mais pour ceux qui se confient en lui et lui font confiance, il est très présent. Ce qui est normal !
L'Apôtre Paul écrit dans la lettre aux Romains 1. 16 et 17 : « Je n’ai pas honte de l’Évangile : c’est la puissance de Dieu pour le salut de tout homme qui croit du Juif d’abord, mais aussi du non-Juif. En effet, c’est l’Évangile qui révèle la justice de Dieu par la foi et pour la foi, comme cela est écrit : Le juste vivra par la foi. » La foi, une pleine confiance en Dieu.
. Mais continuons notre lecture de Romains 1. 18 à 25 : «La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui par leur injustice tiennent la vérité prisonnière, car ce qu’on peut connaître de Dieu est évident pour eux, puisque Dieu le leur à fait connaître ». Quand on voit les merveilles de la création, toute cette splendeur, qui a été fait pour accueillir l’homme, pour lui donner un cadre de vie. Dans son grand amour Dieu a fait tout ça pour l’homme. Les œuvres de Dieu parlent à la pensée et à la conscience des hommes, dans l’infiniment grand comme dans infiniment petit.
Dans l’infiniment grand: Quand je regarde la voûte céleste ces milliard d’étoiles, que je suppose qui évoluent en orbite comme la terre la lune et le soleil. La terre notre planète se déplace à la vitesse de 30 km seconde. Et nous, nous ne sentons pas la moindre inquiétude. Dans son mouvement infernal si la terre se déportait de quelques mètres en direction du soleil ou s’en éloignait nous serions brûlés ou gelés. Mais nous avons un grand horloger et nous pouvons lui faire confiance.
Dans l’infiniment petit : Toutes plantes, tous êtres vivants ont un rôle à jouer. Quand on observe les abeilles, les fourmis ont une organisation instinctive. Les fleurs, leurs pétales, la rose par exemple, c’est une merveille ; les couleurs dans la nature ne sont pas imitables, même le meilleur des peintres a du mal à trouver la bonne teinte. Et le chef-d’œuvre de la création c’est le corps humain. Dieu a mis tout son amour pour faire cette œuvre que tu es ! Si un corps étranger, une simple poussière franchie l'épiderme, une armée se mobilise pour bloquer l’intrus. Tous les scientifiques se penchent sur le corps de l’homme et n’ont toujours pas compris tous les mystères qu’il renferme. Jacques BOUFFIER
Comments